
L’évolution de la dermatomyosite juvénile (DMJ) à l’âge adulte est peu connue. Des études transversales et rétrospectives ont rapporté trois types d’évolution : monocyclique, polycyclique et chronique, mais l’évolution à long terme et les facteurs prédictifs du devenir des patients à l’âge adulte ne sont pas connus.
Les traitements actuels de la dermatomyosite (DM) sont partiellement efficaces et les effets indésirables sont fréquents. Les patients atteints de DM sont caractérisés par un taux élevé d’interféron (IFN)-β dans le sang et une signature IFN de type I (IFN-I) dans la peau et le muscle. L’IFN-β pourrait donc représenter une cible thérapeutique spécifique de cette pathologie.

Les facteurs génétiques de la dermatomyosite à l’épreuve de vrais jumeaux.
Une étude avec 3 paires de jumeaux monozygotes (patrimoine génétique identique) dont l’un est atteint de dermatomyosite et l’autre pas, permet de mettre en lumière l’origine multifactorielle de la maladie.
Myopathie nécrosante auto-immune : chez l’enfant aussi
Des médecins allemands et chinois témoignent de quelques cas de myopathies nécrosantes auto-immunes avec la présence d’auto-anticorps spécifiques (anti SRP et anti-HMGCR).
Vaccin Covid-19 : Va-C-Nemus livre ses résultats définitifs.
La nature et la fréquence des effets indésirables liés à la vaccination se sont avérées similaires chez les participants de Va-C-Nemus et dans la population générale, au terme d’un suivi d’une année et de plus de 1 800 injections de vaccin anti-Covid-19.
L’exercice à haute intensité efficace à long terme dans des myosites
Un essai danois prouve que l’activité physique encadré et personnalisé améliore l’endurance, la force musculaire et la qualité de vie des personnes atteintes de myosite sans augmentation de l’activité de la maladie ni lésion musculaire supplémentaire.
Un nouveau Repère « savoir et comprendre » sur « les aides humaines à domicile. »
La Mise à jour annuelle des avancées de la Recherche dans les Myopathies Inflammatoires est sorti !